Chers amis marcheurs
de Massy et d'ailleurs,
 
Voici notre programme pour le samedi 2 avril.
Rendez-vous à la Gare Robinson du RER B à 10h00.
Pour ceux qui viendraient en voiture un parking couvert, face à la sortie de la gare, dispose toujours de places libres. Son entrée se situe à coté du magasin Picard Surgelés.
Au moment où j'écris ces lignes le seul établissement à proximité de la gare servant un café le samedi matin est le Stardust, 151 rue Houdan (on le voit au bout de l'avenue de la gare, plein sud). Mais il n'ouvre ses portes qu'à 10h. Notre départ se fera donc après la pause café, si l'équipe franco-américaine du Stardust tient son horaire.
En matinée notre parcours comporte 7 kms avec quelques dénivelés dont des escaliers.

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Nous aurons l'occasion d'évoquer quelques pages du riche passé des 2 communes : Châtenay-Malabry et Le Plessis-Robinson.
Nous commencerons notre ballade par un km de trottoir, rue Anatole France à Châtenay-Malabry, et nous atteindrons le parking des visiteurs de la Maison de Chateaubriand. De là nous grimperons jusqu'au Pavillon Lafontaine, quittant Châtenay-Malabry pour Le Plessis-Robinson
 
Guinguette fondée en 1891, le Pavillon Lafontaine attire jusqu’au milieu des années 1950 de nombreux clients grâce à son restaurant, son immense salle de bal, ses cabanes perchées dans les arbres et son pavillon au charme rustique. Ce dernier, dont l’architecture de ciment imite les branches d’arbres, a été racheté par la Ville au début des années 1990. Restauré, il reste de nos jours l’un des rares vestiges de l’âge d’or des guinguettes de Robinson.
 
Nous poursuivrons jusqu'au lieu du "Vrai Arbre de Robinson"

Au milieu des années 1960, alors que les guinguettes de Robinson ferment les unes après les autres, Le Vrai Arbre de Robinson est relancé par ses nouveaux propriétaires qui le transforment, en lien avec Johnny Hallyday, en Robinson Village. L’esprit de Robinson Crusoé est alors remplacé par l’univers du Far West américain avec saloon, village indien, spectacle de western et discothèque. Malgré ces innovations, l’établissement fermera quelques années plus tard.

Au bas de la rue de Malabry nous entrerons dans le parc Henry Sellier pour quelques centaines de mètres avant de traverser la cité-jardin basse - lieu-dit "les Lunettes".
Nous ferons le tour de l'Etang Colbert (toilettes publiques accessibles) qui se trouve au milieu de notre périple de la matinée.
Nous passerons devant la demeure occupée par Colbert avant qu'il n'aménage le domaine de Sceaux. Ensuite, au prix de 155 marches, nous atteindrons le niveau du Bois de la Garenne. Nous traverserons ce bois en repèrant les vestiges du couvent des Feuillants.
Un diverticule nous amènera dans le Bois de la Solitude.

Le Bois de la Solitude est l’ancien parc du château néogothique construit par l’héritière des chocolats Marquis.
 
Après avoir jeté un coup d'oeil aux ruines du Château de la Solitude (pure style Harry Potter) nous descendrons vers le coeur de ville du Plessis-Robinson, son église, ses jardins, son Château-Hôtel de ville, et la statue de
• Pierre de Montesquiou d'Artagnan (1640-1725), mousquetaire du roi puis Maréchal de France, propriétaire du château à partir de 1699.

Nous déjeunerons à la brasserie "Le PO"
 
Ceux qui souhairaient retrouver leur liberté après (ou avant) le repas pourrons prendre le bus qui les amènera en quelques minutes au RER Robinson (arrèt du bus face au "PO")
Ceux qui le souhaitent pourrons continuer la ballade (5 à 6 kms) vers la terrasse du Parc Henry Sellier, qui offre une vue étendue vers le sud-est francilien, puis vers l'Arboretum du Parc de la Vallée aux Loups. Nous y verrons le cèdre bleu pleureur de l'Atlas qui a le label "arbre remarquable de France"
 
À cet endroit, un pépiniériste planta un cèdre bleu de l'Atlas (Cedrus atlantica 'Glauca'). Mais une mutation apparut qui donnait un caractère pleureur à cet arbre. C'est donc le premier individu de la variété Cèdre bleu pleureur de l'Atlas (Cedrus atlantica 'Glauca Pendula') qui fut, bien sûr, exploité par la suite par ce pépiniériste.
Cet arbre est en réalité le seul de sa variété, car les graines qu'il donne produisent des arbres ordinaires non pleureurs. Tous les autres cèdres bleus pleureurs de l'Atlas sont des boutures ou des greffes réalisées à partir de cet exemplaire unique.
Il couvre plus de 600 m2.
En 2011, les structures servant au soutien des branches en cas d'intempéries (vent ou neige principalement) ont été remplacées par des sculptures en résine de l'artiste-sculpteur Francis Ballu.
 
Après une petite visite à l'Ile verte où résida le peintre Fautrier nous rejoindrons la gare Robinson.
 
N'oubliez de me dire, avant fin mars, si vous serez avec nous 1/ au départ 2/ pour le repas
 
Amitiès printanières
Jean-Louis
0631230904
 
PS : merci de vérifier que je n'ai oublié personne dans ma liste d'envoi